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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Les hirondelles...
23/05/2011 17:26

Sous le vieux pont, les hirondelles Deux fois l'an bâtissent leurs nids ; Le bonheur nous les rend fidèles, Elles passent, oiseaux bénis, Respectés par nos mains cruelles.

On aime à vous suivre des yeux, Chasseresses de noir vêtues ; Vos larges becs laborieux S'ouvrent, et vos ailes pointues Touchent la terre ou vont aux cieux !

Que de sveltesse et d'harmonie Dans la courbe de vos essors, Quand vous filez, ivres de vie, Comme des flèches, sans efforts, Avec une grâce infinie !

Les moucherons, danseurs légers, Formant en l'air de fins nuages, Valsent, ignorant les dangers ; Mais dans vos becs prompts et sauvages, Leurs bals d'un moment sont plongés.

Vos petits, dont la faim s'aiguise, Ne savent pas voler encor ; Dans leur nid, sous la voûte grise Où l'eau jette ses reflets d'or, Ils attendent, bec à la brise

Tantôt par les grands jours brillants, Vous planez, essaims circulaires, Pleins de caprices ondulants, Et l'on voit briller, taches claires, Vos jolis petits ventres blancs ;

Tantôt, sûr présage de pluie, Chantant haut, vous rasez le sol Où l'insecte se réfugie, Et vous frôlez dans votre vol Les blancheurs de la route unie.

Que de coups d'aile et de travaux, Petites mères hirondelles ! Que de soucis toujours nouveaux ! Et combien vous semblez cruelles Aux mouches des airs et des eaux !

Mais quand septembre aux nuits voilées, Mêlant du froid à ses douceurs, Embrume forêts et vallées, Pour émigrer avec vos sœurs, Vous êtes bien vite assemblées.

Tristement nous irons vous voir Vous grouper sur la vieille église Au sommet doré par le soir, Quand le rouge soleil s'enlise Derrière un coteau déjà noir

Le vieux pont de pierre, hirondelles, Sera veuf de vos joyeux cris. Et jusques aux feuilles nouvelles N'aura, sous sa voûte aux tons gris, Que le bruit des eaux éternelles

Merci Anne pour ce magnifique poème...
Bonne semaine a tous...
Bisous...
Barbara

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