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Aux confins de la folie
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Aux confins de la folie

VIP-Blog de enchanteresse666
  • 46 articles publiés
  • Modifié : 30/09/2011 20:40

    Délices de Satine
    Passion des Poemes

    Correspondance interdite (7ème lettre)

    04/06/2011 18:07



    Ma tendre amie,

     

    Vous ne pouvez que convenir de la nécessité de cette punition. Dois-je vous rappeler que vous n’êtres qu’une femelle et que, de ce fait, votre éducation revient aux membres de la gente masculine. Preuve en est que vous vous êtes abaissée à un acte contre nature. Sachez que désormais, le plaisir en dehors de ma présence vous est interdit.

     

    Ainsi donc, vous ne vouliez plus venir ! Pourtant, au jour et à l’heure dite, vous êtes descendue de la voiture que j’avais envoyée vous chercher. Et toujours cette couleur rosée sur vos joues qui vous rendait si vulnérable, si désirable. Je vous ai entraînée à ma suite, sans vous donner le temps d’ôter votre tenue, en vous rappelant ce que je vous avais promis à la fin de notre première entrevue. Votre « Non, pitié » prononcé du bout des lèvres me fit sourire. Je vous ramenais dans le salon de façon à ce que vous puissiez admirer votre portrait accroché à l’un des murs. Les larmes se sont rapidement invitées sur vos joues. Les premières de la journée mais pas les dernières. Je vous voulais catin, soumise à vos envies de plaisirs charnels.

     

    Vous étiez debout, face au tableau, lorsque j’ai relevé votre jupe jusqu’à votre taille, vous intimant l’ordre de l’y maintenir. Rapidement, votre croupe laiteuse s’est retrouvée nue. Quelques marques subsistaient. Vous me reprochiez déjà de vous avoir salie… Quand serait-il une fois que je vous aurais fait découvrir les délices de la possession ? J’avais, pour l’occasion, installé une bergère face à mon fauteuil. Je vous ai invitée à y prendre place, les mains sur le dossier et à genoux sur l’assise. Votre surprise à cet énoncé ravit tout mon être. Au préalable, vous aviez du vous défaire de vos habits. Vos suppliques de ne pas mettre en œuvre mon projet n’y faisaient rien, il me suffisait de glisser mon regard sur votre intimité pour connaître vos ressentis. Je me délectais à l’avance des tourments que vous alliez endurer.

     

    Mes mains sont venues écarter ces globes de chair qui dissimulaient encore l’entrée de vos reins, l’objet de ma convoitise. Vous trembliez mais à aucun moment, vous n’avez cherché à vous soustraire. Ma hampe se durcissait au fur et à mesure que mon excitation grandissait. Je ne résistais pas longtemps avant de la délivrer de sa prison de tissu et de venir la faire glisser entre vos reins. Saisissant vos longs cheveux noirs, j’attirais votre bouche à hauteur de mon vis, vos mains se posant sur l’assise de la bergère. Vos lèvres n’ont fait aucune difficulté pour s’ouvrir. Vous ne pouviez nier que votre envie était présente, étouffante même si j’osais… Malgré tout, je n’envisageais aucunement de vous laisser prendre quelque initiative que ce soit. Vous tenant fermement par la chevelure, j’imprimais le rythme qui me convenait sans me soucier de vous. Ce qui vous correspondait, sans doute possible, à l’écoute de vos gémissements qui devenaient de plus en plus audibles. Mais ce sont vos cris que je désirais entendre.

     

    Vous traînant de force à ma suite, je vous conduisis dans la pièce maîtresse de ma demeure. Une multitude d’objets, donc vous ignoriez encore l’usage, s’offraient à vous. Je vous jetais sans ménagement sur un chevalet, appuyant fortement avec l’une de mes mains, entre vos épaules, pour vous empêcher de vous redresser. Mon vis se positionnait à l’entrée de vos reins. Vous osiez à peine respirer, terrifiée par ce qui pouvait se passer. Je me rappelle vous avoir demandé de me répéter la phrase que je vous avais dite avant notre dernière séparation.  Vos mots se sont terminés par un hurlement. Lentement, je forçais l’étroitesse de cette entrée, vous possédant comme il se devait, comme vous deviez l’être. Une fois convenablement empalée sur mon vis, je me retirais en vous laissant ainsi. J’installais ensuite un bois taillé, au bout duquel pendaient deux chaînettes d’acier, pour conserver le passage en son état. Une chaîne passée autour de votre taille et fermée me suffit à bloquer l’objet dans vos reins à l’aide des deux petites attaches. Ces dernières passaient pour l’une, entre vos globes de chair, et pour l’autre, entre les remparts de votre intimité. Une fois harnachée de la sorte, votre bouche me soulagea de toute la tension accumulée avant que je ne vous renvoie à votre demeure. Vous pourriez faire pénitence autant que vous vouliez, votre nouvelle condition s’imposerait à vous à tout moment.

     

    D.




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