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Correspondance interdite (9ème lettre)
07/06/2011 01:40
Ma tendre amie,
Quelle agréable après-midi ai-je passé ce jour-là. Je vous avais fait venir dans une maison de courtisanes qu’il me plait à fréquenter de temps à autre. Intronisée sans que vous ne le sachiez au sein d’un cercle privé d’un genre particulier. Passage obligé pour pouvoir continuer de jouir de vous en toute tranquillité. Mais de cela, vous ne saviez rien. Du moins, pas au moment où j’ai offert vos reins à mes compagnons. Assis, je n’avais d’yeux que pour vous et vous seule. Au milieu de ces hommes, vous aviez l’air si fragile, si vulnérable.
Votre surprise s’apparentait à une gourmandise. Votre virginité ne risquait rien, elle m’appartenait et tous le savaient. Soulevée de terre, je les revois vous jeter en travers d’une table étroite, vos reins et votre bouche à une hauteur en facilitant l’accès. Je trouvais malgré tout dommage que votre splendide poitrine soit écrasée contre le bois et qu’ils ne puissent en profiter. D’un mot, ils reculèrent tous. Je vous redressais le temps de passer une ceinture de cuir autour de chacun de vos seins et de les serrer fermement. A l’extérieur de chacune, j’attachais une petite chaîne avant de vous rallonger sur la table. Vous étiez enfin prête.
A l’écart, quelqu’un observait la scène en silence. Je devais obtenir son accord pour continuer nos jeux interdits. Simple formalité cependant. Sa présence en ces lieux de luxure me suffisait pour l’obtenir. Une simple silhouette, rien de plus, mais un homme dont l’importance n’était plus à démontrer. Un hochement de tête me signifia que vous étiez mienne et que je pourrais disposer de votre présence comme bon me semblerait. Vos yeux me suppliaient de mettre fin à votre supplice. Mais je n’en fis rien. D’un mot, mes compagnons prirent possession de vous. Au sens propre du terme d’ailleurs. Leurs hampes tendues se présentaient tantôt à votre bouche, tantôt à vos reins. Aucun répit ne vous était offert, j’avais bien insisté sur ce fait. Vos cris de douleur ne tardèrent pas à s’estomper pour faire place à des gémissements à peine étouffés par les vits qui pénétraient votre bouche. Vous étiez enfin prête à devenir ce que j’attendais de vous. J’exhortais mes camarades à ne pas vous ménager. Ce qui fut relativement aisé à obtenir. Vos courbes les excitaient et renforçaient leurs ardeurs. L’un après l’autre, ils recouvrirent votre peau laiteuse de leur semence avant de quitter la pièce.
Vous étiez toujours entravée sur la table quand il vint me rejoindre. Quelques minutes de discussion avec lui et j’obtins l’assurance de pouvoir jouir de votre présence quand bon me semblerait. Il fut le seul à ne pas user de votre corps mais que voulez-vous, il préfère les jeunes éphèbes. Je vous détachais, vous laissant choir au sol, avant de retourner m’asseoir. Honteuse de votre état, vous n’osiez plus me regarder. Je vous expliquais les règles de notre relation, n’omettant rien, avant de vous renvoyer dans votre demeure. Mais avant cela, une nouvelle épreuve vous attendait. Deux valets nous rejoignirent et vous emmenèrent avec eux pour vous laver. Je ne pouvais décemment pas vous laisser repartir couverte de votre péché. Et comme tous les hommes fréquentant cette maison, ils avaient la possibilité de vous posséder. C’est d’ailleurs ce qu’ils ont fait si je me souviens bien. N’est-ce pas ma chère amie ?
D.
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