À genoux, entravé, tout ton être frémit
Dans l’attente de ces supplices promis,
Accordés par l’offrande de ton renoncement.
À ses pieds, à ta place, ton être s’enflamme
Et se livre à des jeux interdits où se damne
Ton désir pour quelques trop courts moments.
Elle, exquise tentatrice, dominatrice, s’amuse
De tes émois et de tes écrits devient la muse
Pour te lier à Elle le temps d’une éternité.
Observatrice avisée, entre les lignes je saisis
Ces instants particuliers, tranches de ces vies
Ultimes que nous seuls pouvons apprécier.