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Aux confins de la folie
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Aux confins de la folie

VIP-Blog de enchanteresse666
  • 46 articles publiés
  • Modifié : 30/09/2011 20:40

    Délices de Satine
    Passion des Poemes

    Correspondance interdite (12ème lettre)

    04/07/2011 09:40



    Mon cher,

     

    Je commençais à me dire que vous ne m’importuneriez plus vu votre silence de plusieurs semaines. De nouveau entièrement tournée vers la vie que j’avais choisie, j’oubliais peu à peu les sensations exquises que vous m’aviez fait découvrir. Monseigneur en personne vint m’annoncer mon séjour en votre demeure, précisant que je devais me préparer pour une absence de plusieurs jours. Je signifiais mon refus pour m’entendre répondre que je devais m’en entretenir avec vous et vous seul. C’est la raison pour laquelle je suivis votre chauffeur quand il vint me prendre. Sur le chemin qui me menait à vous, je ne cessais de réfléchir aux paroles que j’allais prononcées. Je vous trouvais confortablement installé dans l’un des fauteuils de votre salon. M’avez-vous seulement écoutée ? Encore aujourd’hui, j’en doute. Malgré tout, je n’ai pas bougé lorsque vous vous êtes approché. Bien mal m’en a prise. Sans aucune considération pour ce que je venais de vous annoncer, vous avez déchirez mon corsage d’un simple geste. Et fait en sorte que je ne puisse rien dissimuler à votre regard en attachant mes poignets dans le dos.

     

    Mon supplice ne faisait que commencer. Les pinces et le collier n’étaient comparés à la caresse buccale imposée par cette femme. Je l’avais déjà croisée dans la maison où vous m’aviez offerte à tous ces hommes. Sa langue s’immisçait dans mon intimité. Attachée, je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher. La honte me submergeait. Je sentais ce feu me consumer littéralement. Tant et si bien que je me retrouvais rapidement dans l’impossibilité de retenir mes gémissements. Mon bas-ventre venait à la rencontre de cette langue qui me fouillait sans relâche. J’en voulais encore plus. Je voulais de nouveau connaître cet instant de plénitude. Ma frustration fut terrible lorsqu’elle cessa à votre demande. Vous libériez à cet instant votre hampe de chair de sa prison tout en me fixant… avant de la posséder sous mes yeux, vigoureusement, avant de la faire jouir à votre convenance. Abandonnée à mon sort, je vous vis revenir, une badine à la main, après l’avoir reconduite. Je ne pus retenir mes tremblements. Qu’alliez-vous encore me faire ?

     

    Vous avez longuement parlé, m’expliquant votre déception quant à mon refus de me soumettre à vos ordres. Je restais muette, sachant que rien de ce que je pouvais dire ne vous convaincrait. C’est à ce moment-là que vous m’avez expliqué la raison de mon séjour en ces lieux : vous alliez m’apprendre à être ce que l’on attendait de moi. Et pour bien me faire comprendre où se trouvait ma place dorénavant, vous avez abattu cette badine sur mon corps. D’abord sur mon ventre, doucement, puis sur l’ensemble de ma personne en allant crescendo. Je ne tardais pas à hurler de douleur. L’action des coups et des pinces conjugués sur ma poitrine me procuraient une vive sensation de douleur. Combien de temps cela a duré, je ne m’en rappelle plus. Quand vous avez cessé, ma peau était recouverte de zébrures rouges, mes seins souffraient le martyr et pourtant, mon intimité ne cessait de couler d’envie. Je suis restée attachée à ce poteau jusqu’au lendemain matin. Ce n’est qu’à cet instant que vous consentires à me libérer sans pour autant ôter les liens de mes poignets. Je chutais lourdement au sol, sans force. Vous n’en aviez cure pour me traîner à votre suite sans ménagement. Et c’est dans ma bouche que vous vous soulagiez, vous moquant bien que je ne manque de m’étouffer à plusieurs reprises.

     

    Ne pouvant échapper à vos mains inquisitrices, je restais mortifiée de devoir subir ma toilette matinale administrée par vos mains. Ce n’est qu’après que je fus autorisée à me vêtir, si on pouvait appeler cela une tenue décente. Le corsage dévoilait mes seins et l’ouverture à l’arrière de la jupe révélait l’intégralité de mes reins. Conduite aux cuisines, vous m’ordonniez de vous préparer un repas digne de ce nom pour le midi sans quoi je subirais une nouvelle fois votre courroux. Fort heureusement, ma mère avait fait de moi une excellente cuisinière. Je me hâtais donc pour vous satisfaire pensant ainsi échapper aux tourments que vous aviez pour habitude de m’infliger. Mon répit fut de courte durée. A peine le plat mis au four que vous me couchiez sur le plan de travail avant de prendre mes reins. Je sentis votre verge déchirer mon ouverture étroite sans ménagement. Malgré tout, je ne me débattais pas, restant immobile pour ne pas vous gêner dans vote ouvrage. Je ne tardais pas à gémir au fur et à mesure que mes reins s’ouvraient sous vos coups de boutoir. Tant et si bien que mon corps se mit à bouger en cadence avec le votre. J’étais votre femelle, avide de plaisir. Mais c’est une nouvelle fois dans ma bouche que vous choisissiez de vous laisser aller, m’interdisant cette jouissance que tout mon être réclamait.

     

    Votre.




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