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Aux confins de la folie
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Aux confins de la folie

VIP-Blog de enchanteresse666
  • 46 articles publiés
  • Modifié : 30/09/2011 20:40

    Délices de Satine
    Passion des Poemes

    Correspondance interdite (13ème lettre)

    04/07/2011 09:42



    Ma tendre amie,

     

    Vous commenciez seulement à comprendre qu’il n’existait aucune échappatoire à l’emprise que je possédais sur vous. Vous alliez découvrir un monde encore inconnu à vos yeux, fait de mille et un tourments, de renoncement de soi mais aussi de plaisirs charnels intenses. Votre séjour en ma demeure m’assurerait de vote totale dévotion à mon encontre. Du moins ferait en sorte que je puisse vous y amener au fur et à mesure que le temps passerait. Vous passiez votre seconde journée à me servir comme domestique. Je ne me privais pas cependant d’user de vos reins à plusieurs reprises qui, de ce fait, se trouvèrent parfaitement accueillant le soir venu. Le temps était venu de vous imposer mon emprise à chaque instant de votre vie.

     

    Je vous sonnais une fois la nuit venue. Sans un mot, je vous allongeais d’autorité sur la table de réception avant de vous entraver en croix sur le plateau. Pour m’assurer que vous ne pourriez pas bouger, une ceinture passée à votre taille me permit de vous immobiliser totalement. Dans l’ignorance de ce qui allait se produire, je vous entendis me supplier de ne plus vous offenser. Pour toute réponse, je relevais le devant de votre jupe, dévoilant votre intimité parfaitement lisse. Je déposais une boîte auprès de vos hanches avant de l’ouvrir. A l’intérieur, un matériel pour vous percer la peau que vous ne pouviez voir. Je commençais par votre lèvre droite, la saisissant à l’aide d’une pince avant de la transpercer à l’aide d’une grosse aiguille. Votre hurlement de douleur me combla. Votre lèvre gauche subit le même traitement. Je vous laissais ainsi un long moment, les aiguilles en place, avant de les remplacer par des anneaux qui, une fois fermés, ne pouvaient s’enlever qu’en les coupant. Votre vulve était désormais parée comme se devait l’être celle de la femelle que vous étiez. Vos larmes étaient une offrande à cette liberté dont je venais de vous priver. Détachée, je vous menais à ma suite dans ma chambre en laisse. Une chaîne reliée au pied de mon lit me permit de vous y attacher pour la nuit. Votre place était à mes pieds, à même le sol. Il vous faudrait vous y habituer.

     

    Je me levais de bonne humeur, vous réveillant en possédant votre bouche aux contours si fins. Les lèvres ourlées de perles blanchâtres, je vous intimais l’ordre de me préparer ma collation matinale. Sans doute ravie d’échapper quelque temps à votre sort, vous vous hâtiez à l’exécution de votre tâche. Tout en dégustant mon café, je vous faisais part du programme de la journée. J’organisais, le soir-même, une réception pour quelques amis. Vous aviez pour charge que tout soit parfait. Devant votre interrogation concernant la tenue à porter, je vous répliquais qu’elle serait celle que je vous avais offerte la veille. Vous protestiez, tant et si bien que ma badine vint caresser votre croupe en y laissant de longues traces d’une magnifique couleur carmin. Avant de vous laisser vaquer à vos occupations, j’installais une chaînette, la faisant passer dans les anneaux, fermant ainsi votre intimité encore vierge grâce à un petit cadenas. Cet acte acheva de vous convaincre d’obéir. Je profitais de la journée pour rédiger quelques courriers avant de m’assurer que tout était en place pour accueillir mes convives.

     

    Vous étiez partie vous préparer. Pénétrant dans la pièce, je vous trouvais assise devant une coiffeuse, brossant vos longs cheveux blonds, vêtue de votre robe. Vous prenant la brosse des mains, je terminais ce que vous aviez commencé avant d’appliquer un fard rouge vif sur la pointe de vos seins. Ils ressortaient ainsi de votre peau laiteuse, attirant immanquablement le regard. Votre pudeur exacerbée vous mettait au supplice pour mon plus grand plaisir. Je me préparais à mon tour avant d’introduire un olibos au creux de vos reins. Ce dernier étant pourvu d’une clochette à sa base, chacun de vos mouvements déclenchait une adorable mélodie. C’est ainsi parée que vous receviez l’ordre de descendre et d’introduire chacun de mes convives à leur arrivée. J’attendais cinq personnes, quatre hommes et une femme pour ce dîner libertin. Je gagnais la place du maître de maison et patientait en fumant la pipe. A chaque arrivée, je vous voyais pénétrer dans le salon les joues en feu, mortifiée par la honte qui vous submergeait. Le repas se déroula dans une ambiance détendue, chacun attendant ce qui devait suivre avec une certaine impatience. Nous vous laissions nettoyer. Je vous avais fait savoir que vous deviez nous rejoindre rapidement et que je ne tolèrerais pas de devoir attendre plus qu’il ne fallait.

     

    Vous vous teniez au centre du cercle que nous formions sur la terrasse, l’air frais du soir vous faisant frémir. A moins que cela ne soit du à votre état de femelle en attente. A ma demande, vous ôtiez votre robe, révélant votre beauté dans son plus simple appareil ainsi que votre intimité close par mes soins. J’invitais chacun de mes convives à venir vérifier que vous étiez conforme en tout point à ce que vous deviez être. Elle, la seule femme de cette assemblée, vous tourmenta longuement avant d’acquiescer d’un signe de tête. Je pouvais donc poursuivre votre éducation.

     

    D.




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