.Ô jeune et belle demoiselle, Déplie tes jolies ailles, Mais je t’en supplie ne monte pas au ciel, L’air et si pur à terre , Pour que tu fasse une belle paire,
Des jolies yeux pétillant, Ainsi qu’un visage étincelant, Que dire de mieux, Qu’un parfait reflet de toi, Exposant sous tous les toit,
De sa taille d’un mètre soixante-quatre, Elle se dit petite, Et pourtant loin d’être naine, Mais tout est dans le cerveaux, Et rien ne changeras,
Romantique ou égoïste, Ayant un caractère dur à comprendre, D’un jour de bonne humeur de l’autre non, Cela n’écartant personne, Toujours aussi sympathique,
Joyeuse et heureuse, Souriante et gracieuse, Généreuse et Amoureuse Aimable et loyale,
Tout n'est plein ici bas que de vaine apparence, Ce qu'on donne à sagesse est conduit par le sort, L'on monte et l'on descend avec pareil effort, Sans jamais rencontrer l'état de consistance.
Que veiller et dormir ont peu de différence, Grand maître en l'art d'aimer, tu te trompes bien fort En nommant le sommeil l'image de la mort, La vie et le sommeil ont plus de ressemblance.
Comme on rêve en son lit, rêver en la maison, Espérer sans succès, et craindre sans raison, Passer et repasser d'une à une autre envie,
Travailler avec peine et travailler sans fruit, Le dirai-je, mortels, qu'est-ce que cette vie ? C'est un songe qui dure un peu plus qu'une nuit.