La chute: Entretien entre Albert Speer et Adolf Hitler (0h24minutes24secondes):

Adolf Hitler: Peut importe ou l'ennemi percera, il ne devra trouver que desert ou terre ravagée!

Albert Speer: C'est la condamnation du peuple allemand! Pas de courrant, pas de gaz, pas d'eau potable, pas de charbon, pas de transport, si vous detruisez voie ferrée, canaux, docks, écluses, navires, locomotives, vous vous rendez compte? Vous renvoyez notre pays au moyen-age! En donnant cet ordre, vous privez le peuple allemand de toute chance de survie!

A.H.: Si nous devons perdre cette guerre on s'enfout que le peuple allemand ne survive pas! Comprenez-moi bien, Speer, je n'ai que faire des conditions indispensables à la survie la plus élementaire de notre cher peuple allemand. Bien au contraire, je suis persuadé qu'il vaut mieux détruire ces choses là! Puisque le peuple s'est révélé le plus faible, il est tout a fait normal qu'il soit radicalement eliminé, la nature est ainsi faite.

A.S.: C'est votre peuple, vous êtes sont Führer!

A.H.: Ceux qui survivront à ce combat, malheureusement, ne seront que les plus médiocres d'entre nous car les meilleurs sont déjà tombés.

Entretien entre Albert Speer et Adolf Hitler (1h06minutes29secondes):

A.H.: Entrez!... Bien!...Vous voilà!

A.S.: Mon Führer! Je...

A.H.: Taisez-vous! ...Asseyez-vous donc!... J'avais de grand dessein pour le troisieme reich, pour notre nation, pour le reste du monde! Personne ne m'a jamais compris! Pas même mes anciens camarades de combat!... Il y avait tant de possibilités qui s'offraient à nous! Nous étions sur le point de dominer le monde entier,.. trop tard! La seule chose que l'on puisse porter à mon credit, c'est d'avoir nettoyé l'espace vital allemand du venin juif, d'avoir était le seul à combattre le juif à visage découvert depuis le debut! Je vais m'en aller sans aucun regrets, un court instant suffira, et ensuite, la paix.

A.S.: Epargnez au moins le peuple, mon Fuhrer!

A.H.: Je ne verserais aucune larmes sur le sort du peuple allemand, si il se revelait incapable de survivre à cette épreuve! Il n 'aurait que ce qu'il mérite! Voyez-vous il s'est choisi son destin en connaissance de cause, et tant pis s'il n'en rechappe pas!

A.S.: Il y a des mois,... je me dois de vous le dire, mon Fuhrer, il y a des moins que je n'obeis plus à vos ordres, ni à vos consignes. Il existe des documents qui prouvent que non seulement je ne tiens pas compte de vos ordres, mais encore j'y contreviens régulierement. Je tenais à vous le dire, c'est pour ca que je suis là! Mais ma loyauté envers vous, n'en a jamais était alterée, croyez-moi.

A.H.: Ainsi vous partez, bon! Alors, au revoir!

A.S.: Je vous souhaite bonne chance!